Le secret relevé
Salut, je m'appelle Aurélie, j'ai seize ans, j'en aurais dix-sept dans quatre mois. Je mesure un mètre soixante neuf – je trouve que je suis un peu trop petite en passant – je suis blonde, mes cheveux m'arrive environ vers le milieu du dos. J'ai les yeux bleu clair, presque gris (bleu-gris en fait), orné d'un fin trait bleu foncé et saupoudré de reflets doré. Je suis de corpulence moyenne, je me trouve assez bien car j’ai appris à m’apprécier comme je suis grâce à ma meilleure amie. Puis j’ai minci depuis trois ans, donc ça va ; de toute façon, je ne suis pas grosse donc pour moi, c’est bien. J’aime les films fantastique, surtout les films de vampires que je sur-kiff plus que tout ! J'ai deux sœurs : une grande et une petite. Pas de bol, je suis au milieu. A ce qui paraît, c'est la plus mauvaise place, mais moi, ça ne m'a pas porté préjudice. Ma grande sœur s'appelle Gwénaëlle, elle a dix-huit ans, elle fait quasiment la même taille que moi, ses cheveux lui arrivent aux omoplates et elle est brune, elle a les yeux marron avec une touche de vert. Ma petite sœur s’appelle Edwige, elle a quatorze ans, elle mesure un mètre cinquante trois et est maigre comme un clou. Elle est châtain et ses cheveux lui arrivent aux fesses, elle a les yeux marron. Mon père a cinquante cinq ans. Il est avec une femme qui s'appelle Serena. Ma mère sa fait depuis que j'ai onze ans que je ne lui parle plus et que je ne la vois plus à cose d'une trop longue histoire que je ne pourrais pas raconter. Sinon, j’aime les chaussures à talon haut, et la mode. Je suis toujours célibataire et je suis au lycée. En vacances. J'ai mon appart à moi toute seule. Et oui, déjà ! Il n'est pas très grand mais pas trop petit non plus, mais il me convient très bien, il y a ma chambre qui est dotée d’une salle de bain intégré, une chambre d’amis, une pièce qui sert à je ne sais pas quoi dont je me sers comme dépotoir (à savoir mettre tout et n’importe quoi), le salon salle à manger.
Ma meilleure amie s’appelle Jessica. Elle, elle a dix sept ans, elle est un peut plus grande que moi de deux centimètre à peu près. Elle a les cheveux court et rouge (elle c'est fait une couleur a quinze ans), ça fait bien ressortir ses yeux verts parsemés de bleu et saupoudrés légèrement de gris. Elle aime aussi les films fantastiques (mais largement moins que moi : faudrait me voir quand je ne peux pas regarder ce genre de film – ou série – ce n’est pas son cas). Elle aime aussi les chaussures et la mode. Elle a trois sœurs : une grande et deux petites. Sa grande sœur s’appelle Laura, elle va avoir dix neuf ans. Sa petite sœur s’appelle Adeline, elle va avoir treize ans et la plus petite de ses sœurs va avoir six ans. Elle a un appart pas très loin du mien, de la même taille.
On prévoit de faire un très long voyage elle et moi. Il va nous emmener très loin. C’est prévu pour dans deux semaines et demi, et se sera rien que nous deux : sans parents, sans sœurs, sans petits copain et même sans animaux. Un petit voyage en Amérique !
1.
J'avais invitée Jessica à une fête. Nous étions dans un endroit sombre, vers vingt et une heure. Le bruit était presque assourdissant, des arcs en ciel perçaient la pénombre de toute part de la pièce. Les DJs faisaient passer de la musique des années 60. Les gens dansaient jusqu'à en perdre la tête.
Jessica dansait avec un certain
Jeremy, que je ne connaissais que depuis seulement quelques jours car elle n'avait
pas vraiment pu me le présenter plus tôt (il habitait à Paris), malgré qu'ils étaient
ensemble depuis déjà un peu plus de deux ans. Moi pendant ce temps, j'étais
assise au fond, à une table ronde nappée d'un rouge profond et rayée d'un noir
d'ébène. Je regardais la foule s'agiter, las de voir qu'aucune musique
quasiment ne me plaisaient.
Quand Jessica revint, elle me demanda :
- Tu ne danses pas ?
- Non.
- Pourquoi ?
On s’éclate bien !
- Parle pour toi !
Moi je trouve que la musique est nulle ! On dirait qu’elle date du moyen
âge !
- Ho ! Ne sois
pas si difficile ! Tu m’emmène à une fiesta et tu ne danse même pas !
Alors pourquoi t’es venue ? T’es chiante, hein !
- Oui ! Moi
aussi je t’aime ! Et je t'ai invité pour bien sur danser, mais je pensais
que la musique serait meilleure. Mais aussi je ne suis pas venue que pour me
bourrer la gueule et danser.
- Je ne me bourre
pas la gueule !
- C'était une expression. Mais quand même avoue qu’un peu si.
- C'était une expression. Mais quand même avoue qu’un peu si.
- Ba pour quoi
d'autre alors?
Je la regardai d’un air de dire
« Ba, réfléchie andouille ! T’as un cerveau ! »
- Tu n’aurais pas
une petite idée ? Toi, t’as un beau gosse qui serait prêt à se tuer à ta
place…
- Merci.
- De rien. (je me
retournais vers Jessica) donc si t’as toujours pas compris : je vérifie les alentours !
- Ha, ba tu l'aurais dis plus tôt sa
aurait été mieux!
- Ba oui, ba non.
- Peut-être que si tu viens danser, un mec surement très mignon viendra te voir et vous discuterez et que...
Laisse tomber! Bref, tu te ramènes? Parce que ce n’est pas en restant croupie
derrière ta table que tu va rencontrer le prince charment !
- Et que ?
- Rien, je …
- Ouai, ouai ;
je te connais assez Jumelle, c’est bien pour ça qu’on s’appelle comme cela,
non ?
- Oui, mais…
- Mais ?
- Mais arrête de
m’embêter, pour être polie !
- Bon, ok, comme tu
voudra. De toute façon, je sais se que tu pensais ! T’as vraiment les
idées tordues !!
- Ba, pourquoi tu
demande alors ?
- Ho, comme ça…
- Hmm… Tu
viens ?
- Non, je reste là.
Et s’il y a une chanson qui me plait, je vous rejoindrais peut-être.
- Peut-être ?
- Peut-être.
Jeremy prit Jessica par le bras et me dit :
- Bon, ba peut-être à toute à l’heure alors.
- Houaiche.
Jessica et Jeremy retournèrent sur la
piste de danse. Pendant qu'ils me sourirent comme des guignols, je m'esclaffai
en voyant Jessica tomber en arrière et faire tomber son chéri qui lui renversa
une autre personne qui atterrit sur une autre... Et les gens tombèrent un à un
comme des dominos. A cause de ma Jumelle, une quinzaine de personnes se trouvèrent
à terre. Elle fut rouge de honte – d’'ailleurs, ça alla très bien avec la
couleur de sa robe : rouge rosé, parfait ; et ses chaussures allaient aussi
bien avec le reste : des chaussures rouge à talon de 10 centimètres environ. Je
m'étouffai presque tellement que je riais. Entre deux larmes, je vis quelques personnes se retourner vers moi et me regarder d'un air sidéré.
Un slow arriva et les gens se relevèrent et se remirent de leurs émotions pour aller prendre un partenaire et danser. Comme prévus, le petit couple alla danser. Moi, sans étonnement, j’étais toujours morte de rire.
Un slow arriva et les gens se relevèrent et se remirent de leurs émotions pour aller prendre un partenaire et danser. Comme prévus, le petit couple alla danser. Moi, sans étonnement, j’étais toujours morte de rire.
La voix qui me parla ensuite, resta à jamais gravée dans ma mémoire.
- On m'a toujours dit : plus on rit, plus on vit !
Cette voix suave et douceâtre me scotcha sur place. Je n’eus jamais entendue une voix aussi sensuelle. Mon corps se figea, j'arrêtai de rire, m'essuyai les yeux du revers de la main et relevai la tête. Ce que je vis ce jour me glaça le sang (dans le bon sens du thème), me pétrifia et mon cœur cessa de battre. Je ne savais même pas qu'une telle beauté pouvait exister. Bouche bée devant cette splendeur, je sus, que cette homme serait celui de ma vie. En ce moment même ce n’était plus le sens de la gravité qui me tenait au sol, mais bien cet être. Sans aucuns mots assez forts pour le décrire. Des chaussures noires, un jeans noir, t-shirt noir, veste en cuire noire et des cheveux noire corbeau. La seule chose qui se détachait de tout ce noir, c’était ses yeux, des yeux bleu clair comme le ciel un jour d'été, ornés d'un bleu plus foncé, le tout parsemé de gris. Je n'en croyais pas mes yeux : les siens étaient les miens, les miens étaient les siens. Plus rien n'exista autour de moi. Et ce fut la que je sus, dans cette disco-teck, ce 1 du mois de juillet 2015 qui partagerait ma vie. Cet homme serait mon cœur, mon sang et mon âme, ma moitié, mon âme-sœur. Il me regarda d'un air sincère et attendrissant. Quand enfin je pus décrocher un mot au bout de ce qui m'avais parus durer une éternité, mais n'eut en faite duré que quelque secondes je lui dis :
- Et qui vous a di cela ?
- Une vielle amie de longue de longue date.
- Vous…
Je baissai les yeux, un peu intimidée par cet homme, et tombai nez à nez avec son badge : "Directeur du "Blood" Mr. Salvatore" En se moment même, je me dis que je venais de faire la plus grosse connerie de ma life.
- Et merde ! marmonnais-je. Je suis vraiment désolée… !
Il suivit mon regard, enleva son badge et le fourra au fond de la poche de son jeans.
- Faisions comme si vous n’aviez rien vu. Je ne suis qu’une personne anonyme.
- Je ne suis pas aveugle quand même !
Voyant que je ne tirai pas mon regard de l’emplacement de son badge et que je ne relevai pas les yeux pour le regarder il ajouta :
- Ne vous faite pas de soucis !
- Ok, dis-je timidement.
- Bon, repartons depuis le début ; je m’appel Damon Salvatore. Et vous, c’est quoi votre petit nom ?
- Aurélie.
- Enchanté. Aurélie tout court ?
- Aurélie Sans-Nom-De-Famille.
Il me regarda d’un air curieux et insistant.
- Bon d’accore : Aurélie Meurdesoif. Vous voyez pourquoi je ne voulais pas vous le dire ?
- Je ne vois pas…
- Ne le faite pas exprès ! Bon passons… Vous êtes d’origine italienne, non ?
- Bien vu. Mon nom de famille est évoquant à ce que je vois.
- Pas comme le mien ! bafouillais-je pour moi, sans vouloir qu’il m’entende.
- Ne vous embêtez pas avec cela.
- Pardon ?
- Votre nom de famille, ce n’est pas si catastrophique que cela quand même.
- Ho, si vous saviez !
- Je propose que nous passions à autre chose ?
- Pourquoi pas ! Vous êtes d’origine italienne et pourtant vous avez un accent américain.
- C'est parce que je suis à moitié américain et à moitié français.
- Ha dac.
- Est-ce qu’on se connait ? repris-je.
- Dit-donc Aurélie… lança Jessica d’une voix pleine de sous-entendu.
- Jessica ! lui reprochais-je.
- Ba quoi ?
Damon me regarda, puis passa à Jesse et son copain.
- Heu… Damon, je vous présente Jessica et Jeremy ; Jessica et Jeremy, je vous présente Damon.
- Salvatore. Damon Salvatore, enchanté. Jessica et Jeremy Sans-Nom-De-Famille aussi ?
Jesse me regarda interloquée, puis n’eut pas besoin de se faire prier pour comprendre.
- Hein ? Aurélie ! Tu ne lui as quand même pas sorti ça ?!
- Ba… si.
- Encore !
Je regardais Damon et lui dit :
- Je vous expliquerais.
- Non, pas Sans-Nom-De-Famille. Moi c’est Jessica Slass et mon petit copain c’est Jeremy Lalong, lui répondis-elle en insistant bien sur « petit copain » et en me regardant droit dans les yeux pour ces deux petits mots sans se soucier si cela me faisait chier ou pas. Et Damon eut un petit rire en voyant cela.
- Bon, ba nous on retourne sur la piste ! lança Jesse.
- Et sur les verres ! la taquinais-je.
- Hey ! T’as crut quoi toi ?! Bisous Jumelle ! me fit-elle avec un clin d’œil.
Quand ils furent repartit, Damon me sourit :
- Jumelle ?
- Ha, oui ! C’est un surnom qu’on c’est données.
- Puis-je savoir pourquoi ?
- On est en quelque sorte… complémentaire : quand je dis quelque chose, elle fini ma phrase ou inversement. Ou alors, je pense à un truc et elle le dit à ma place et…
- Inversement ?
- Exactement. Sinon on est en kif sur les mêmes trucs, etc. Bref, vous voyez ?
- Oui, bien sur. Et quelle est l’histoire du sans nom de famille ? me questionna-t-il.
Quelque chose dans son attitude me faisais flipper, toutes ses questions. C’est vrai que ce n’était que sur ce qu’il entendait là, mais quand même ! Vous vous verrez vous, avec un gars que vous ne connaîtrez même pas et qui vous attirerait mais en même temps que vous redoutez ? Et en même temps, je me sentais très bien avec cet étranger. Donc puisque j’étais en confiance, je décidai de lui répondre :
- En fait, depuis que je suis toute petite, je n’aime pas mon nom de famille : Meurdesoif ça fait penser à quelqu'un qui meurt de soif et c’est très chiant ! On c’est toujours foutus de ma gueule depuis la nuit des temps. Donc sa ma soûlée Y a pas si longtemps que ça, j’ai lue un livre qui s’intitule « La Maison de la Nuit » et y avait une fille qui s’appelait Elizabeth Sans-Nom-De-Famille. Son vrai nom c’était Grosseins. Donc voilà.
- Et tu as repris l’idée en gros.
Sa phrase ne fut pas une question, mais je me sentis obligée d’y répondre :
- Oui. Bon, à moi les questions maintenant : est-ce qu’on se connait ?
- C’est la première fois que je vous vois.
- J’ai pourtant l’impression de vous avoir déjà vue quelque part.
- Vous devez confondre. Puis-je vous offrir un verre ?
- Oui, dis-je avec hésitation, vous êtes sur que je ne vous connais pas ?
- Certain. Du champagne ? dit-il pour revenir à son sujet, et voyant qu’il ne voulait pas continuer sur les connaissances, je m’arrêtais de l’embêter.
- Non, je ne bois pas. Juste du wiski s’il vous plait.
- Vous ne buvez pas ? C’est bien ce que vous avez dis ?
- De champagne. Je ne bois pas de champagne, c’est dégueu, ça dépend lesquels, mais je n’ai pas envie de tester.
- D’accore. Vous êtes majeur ?
- Non.
- Votre amie est majeure ?
- Non.
- Comment vous êtes entrés ?
- Son copain est majeur.
- D’accord. Je reviens vite !
Je voulais absolument savoir si je le connaissais ou s’il avait raison et que je ne l’avais jamais vu ; qui il était vraiment. J’allai donc chercher Jessica.
- Quoi ? Tu me dérange là ! J’adore s’te chanson !
- S’il te plait, arrête et écoute moi !
- Bon, vas-y.
- Tu connais ce mec ? Il ne te dit pas quelque chose ?
- Qui ça ?
- Ho, fait pas exprès ! Damon Salvatore !
- Ton futur mari ? Le beau gosse, qui était avec toi ?
- Arrête ! Il va revenir !
Voyant que je ne rigolai plus, elle me répondit avec la plus grande franchise qu’elle pouvait avoir quand elle était saoule.
- Non, pas vraiment…
- Pas vraiment ?
- Je ne sais pas ! OK ! Mais c’est qui au juste ? Pourquoi tu t’affole pour ça ?
- Je te dis qu’il me rappelle quelqu'un, mais je ne vois pas qui ! Si je le savais, je ne te demanderais pas d’être sérieuse. Et pour répondre à ta question : c’est le directeur de la boite.
Cette révélation eut l’air de la réveiller car elle se redressa.
- Le… Tu t’fous d’moi ?
- J’ai une tête à me foutre de toi là ?
- Et toi, Aurélie "Sans-Nom-De-Famille", t’es restée là ? Bravo ! insista-t-elle sur la fin.
- Quand il a vu que j’avais les yeux rivé sur son badge, il l’a retiré et il a dit « faisons comme si vous n’aviez rien vue, je ne suis qu’une personne anonyme. Repartons de zéro. » je n’allais quand même pas prendre mes jambes à mon cou !
- Pas faut. T’as faillis faire une crise cardiaque, je suppose.
- Comment t’as d’viné ?
- Je suis devint !
- Ha, très drôle…
Elle me fit taire d’un signe discret de la main :
- Alerte rouge : ton directeur est là…
- Tu me soule avec tes sous-entendus ! Et tu pourrais demander à Jeremy de faire quelques recherches sur lui s’te plait de ma part : je voudrais à peu près tout savoir.
Elle me fit signe de la tête tout en disparaissant de ma vue.
Damon passa devant moi et me tendit mon verre.
- On papote ?
- Elle voulait que je vienne danser, mentis-je.
- Allons-y !
- Non, non, vous ne m’aurez pas !
- Vous n’aimez pas danser ?
- Je n’aime pas la musique et danser. Et je ne sais pas danser !
Un slow arriva, il me prit la main et m’attira sur la piste de danse.
- Non ! S’il vous plait…
- On ne discute pas !
Cette chanson que je n’avais jamais appréciée, me transperça comme une lame et mon âme chavira. Intitulée Tu es de ma Famille, elle incarnait parfaitement ce que représentait Damon pour moi.
Ses bras ferme et en même temps relâchés autour de ma taille, me donnaient une impression de sécurité. Il me regardait droit dans les yeux. Je posais doucement ma tête sur son cœur. Le mien revenait timidement à un rythme normal tendis que toutes les ombres s’écartaient pour nous voir danser. Mais pour moi, seul son pouls sous mon oreille avait de sens. Imprégnée par cette chanson, je voulais de tout cœur que cet instant ne suffise jamais à mes souvenirs, qu’il dur plus qu’une éternité.
Il posa délicatement son menton sur le sommet de mon crane comme
s’il voulait que je ne parte plus, et resserra son étreinte. Quand mon cœur se
remis à battre la chamade, il susurra au creux de mon oreille :
- Détendez-vous.
- Plus facile à dire qu’à faire !
- Pourquoi ça ?
- Je n’aime pas danser et je ne sais pas
danser. En plus de ça je danse avec un inconnu, les gens arrêtent pas de nous
regarder. Et… bref.
- Et ?
- Rien, rien.
- Comme vous voudrez. Mais ne faite pas
attention aux autres.
- Hmm.
Je l’entendis avoir un petit rire.
La fin de chanson arriva et je n’avais
même pas remarquée que je m’étais détendue au fur et à mesure.
Nous nous détachâmes l’un de l’autre, mais il ne me lâcha pas pour
autant. Il me ramena vers la table où j’étais assise un peu plus tôt. Je
m’assois et le regardais griffonner quelque chose sur un bout de serviette.
- Je vous laisse avec vos amis. Merci
pour cette danse.
- De rien, soufflais-je dans un murmure.
Je me dis que je devais avoir l’air
débile à le regarder s’éloigner comme ça. Mais je n’y pouvais rien, je ne
pouvais plus bouger d’un poil. Mes yeux restèrent figés dans le vide à fixer un
point invisible. Je vis une main passer devant mon visage et clignais des yeux.
Je les tournais vers Jessica et Jeremy, cette première me toisait d’un air de
dire « Ouf, elle est pas tombée dans les pommes ! »
- Je crois qu’elle est encore sous le
choc !
- Ouai, moi aussi.
- T’as vu comme ils dansaient !
C’était trop beau. Je pense qu’elle va changer d’avis sur la danse.
- Trop mignons ! Moi j’en suis sur,
affirma Jeremy.
Je les entendais sans les entendre, je
les voyais sans les voir. Ils discutaient de moi comme si je n’étais pas là.
- Hey ! J’suis là quand même !
- Désolé Jumelle. Mais tu n’es pas
sérieuse ? Si ?
- Hmm.
- « Hmm » ça ne veut rien dire.
- Je… je… sais… pas…
Je parlais sans faire attention à ce
que je disais.
- T’es robotisée ?
- On dirait bien, mais elle est au
ralentit.
- Elle est amoureuse ! hurla
Jessica.
Cette phrase me réveilla et je bondis
de ma chaise pour aller me planter devant Jessica. Je la regardais d’un air
furax. Elle recula d’un petit pas craignant ma réaction. Julien nous regardait
prêt à s’interposer entre elle et moi.
- Il est… je ne sais pas ! dis-je lentement en me rassoyant.
Le petit couple me regarda interloqué, incohérent. Je relevais la tête pour les contempler et souris bêtement.
- Il y a quoi de marrent là-dedans ? me lança Jessica un peu énervée.
- T’as cru que j’allais me jeter sur toi, te frapper et te décapiter ?
- En gros oui !
- Ba non, c’est juste que ta phrase elle m’a réveillée.
- Ha, répondit Jessica sans savoir si elle devait rester énervée ou pas.
Finalement elle se calma et Julien se détendit.
Jessica retourna son regard sur moi. Un regard que je connaissais très bien, a chaque qu’il y avait quelque chose pour venir me taquiner, elle était toujours présente, jamais aucun appel absent. Pas que je me souvienne. Elle souriait déjà, je savais à quoi m’attendre. Je n’avais pas vraiment envie d’entendre son discourt de pipelette en quête d’actualité. Sauf que là, de l’actualité, il n’y en avait pas. Dommage pour elle.
- Et alors ?
- De ?
- T’es amoureuse ! reprit-elle de sa voix pleine de sous-entendus.
- Ba non ! Ca ne vient pas comme ça ! Ou du moins, je l’espère… murmurais-je pour moi-même.
- Bien sur !
- Quoi ?
- Je vois bien tes yeux quand tu le regarde !
- Tu sais quoi ? je vais me prendre un verre, ça va m’aider à réfléchir.
- Ouai, va-y. T’en a bien besoin ! Mais tu m’explique comment tu va de débrouiller ? T’es pas majeur je te rappelle.
- Ho ! Sans blague, je ne savais pas ! répondis-je moqueusement. Et comme tu dis, je vais me débrouiller toute seule, comme une grande. Mais je n’ai pas besoin d’être majeur pour boire, du moment que je suis entrée !
- Tu m’en diras des nouvelles. Nous on retourne se défouler.
Je retiens Jeremy :
- Est-ce que tu pourras me trouver assez vite tout ce qu’il y a à savoir sur Damon Salvatore, stp ?
- No soucis, je te donne ça demain ou après-demain, Jesse m’a dit.
- Ouai, je te remercie beaucoup ! Je te revaudrais ça t'inquiète pas ! Merci beaucoup. J’y vais.
- De rien.
En me levant, je m’agrippais au bout de papier et l’embarquais avec moi. Je tremblais de tout mon corps. Pas vraiment pratique avec les talons aiguilles. Je faillis même tomber.
- Il est… je ne sais pas ! dis-je lentement en me rassoyant.
Le petit couple me regarda interloqué, incohérent. Je relevais la tête pour les contempler et souris bêtement.
- Il y a quoi de marrent là-dedans ? me lança Jessica un peu énervée.
- T’as cru que j’allais me jeter sur toi, te frapper et te décapiter ?
- En gros oui !
- Ba non, c’est juste que ta phrase elle m’a réveillée.
- Ha, répondit Jessica sans savoir si elle devait rester énervée ou pas.
Finalement elle se calma et Julien se détendit.
Jessica retourna son regard sur moi. Un regard que je connaissais très bien, a chaque qu’il y avait quelque chose pour venir me taquiner, elle était toujours présente, jamais aucun appel absent. Pas que je me souvienne. Elle souriait déjà, je savais à quoi m’attendre. Je n’avais pas vraiment envie d’entendre son discourt de pipelette en quête d’actualité. Sauf que là, de l’actualité, il n’y en avait pas. Dommage pour elle.
- Et alors ?
- De ?
- T’es amoureuse ! reprit-elle de sa voix pleine de sous-entendus.
- Ba non ! Ca ne vient pas comme ça ! Ou du moins, je l’espère… murmurais-je pour moi-même.
- Bien sur !
- Quoi ?
- Je vois bien tes yeux quand tu le regarde !
- Tu sais quoi ? je vais me prendre un verre, ça va m’aider à réfléchir.
- Ouai, va-y. T’en a bien besoin ! Mais tu m’explique comment tu va de débrouiller ? T’es pas majeur je te rappelle.
- Ho ! Sans blague, je ne savais pas ! répondis-je moqueusement. Et comme tu dis, je vais me débrouiller toute seule, comme une grande. Mais je n’ai pas besoin d’être majeur pour boire, du moment que je suis entrée !
- Tu m’en diras des nouvelles. Nous on retourne se défouler.
Je retiens Jeremy :
- Est-ce que tu pourras me trouver assez vite tout ce qu’il y a à savoir sur Damon Salvatore, stp ?
- No soucis, je te donne ça demain ou après-demain, Jesse m’a dit.
- Ouai, je te remercie beaucoup ! Je te revaudrais ça t'inquiète pas ! Merci beaucoup. J’y vais.
- De rien.
En me levant, je m’agrippais au bout de papier et l’embarquais avec moi. Je tremblais de tout mon corps. Pas vraiment pratique avec les talons aiguilles. Je faillis même tomber.
Je portais un corset noir avec de jolie forme rouge sang dessus, une
jupe courte et étroite.
Une fois arrivée au bar, je commandais un wiski me rappelant que
je n’avais bu que le quart du verre que Damon m’avait offert. Une fois que j’eu
commandé, je dépliais le papier et vis des chiffres. Quand le barman me servis
je n’avais pas tout de suite remarquée qu’il me parlait.
- Sympas le patron ?
- Hmm ?
Je relevais la tête ne remarquant
qu’il me parlait et faillis lui cracher
dessus, heureusement je ne fis pas et j’avalais goulument.
- Pardon ?
- C’est son numéro. Et je vous ais vu
danser ensemble.
- De quoi je me mêle ?
- Ne soyez pas si agressive voyons, me
dit une voix que je connaissais de peu.
Cette fois je ne pu me retenir et
crachais ce que j’avais dans la bouche. Le mec qui se tenais en face de moi ce
pris tout à la figure, dommage pour lui c’était bien le barman. Je me levais de
la chaise, me retournais et tombais nez à nez avec la personne que je ne
voulais justement pas vraiment voir. Et encore une fois je ne fis plus un
geste.
- Je m’en occupe.
Il se retourna vers celui qui m’importunait. Il le regarda droit
dans les yeux.
- Toi, vas voir ailleurs si j’y
suis !
- Ne soyez pas si agressif voyons !
Il se retourna vers moi et me souris.
- Le hasard fait bien les choses on dirait.
« Si vous parlez de nos
rencontres imprévus, je ne crois pas non » pensais-je. Puis comme s’il
avait lu dans mes pensées, son beau sourire disparu. Je fis comme si de rien
était puis lui montrais mon verre et lui proposa :
- Un verre ?
- Vous êtes sur ? Logiquement ce ne
devrait pas être à vous de me le proposer.
- Non je ne suis pas sur.
Pourquoi pas ? Et pourquoi ?
- Vous n’avez pas l’air très enchantée
de me voir.
- Je ne crois pas que ce soit la vrai
raison de votre commentaire. Mais laissez tombez je n’ai pas envie de savoir. Alors,
oui ou non ?
- Si vous insistez.
- Hey ! Un autre.
- Tout de suite.
- Non, dans deux ans !
marmonnais-je, et la bouche de Damon s’étira.
Quand le garçon me donna le verre je
le tendis à Damon et l’invitais à aller s’asseoir. Quand nous furent assis, il ne
me lâcha pas du regard. Je passais mes verres un à un tendis qu’aucuns de nous
deux ne disais un mot. Au bout de dix minutes j’avais déjà avalé sept verres,
lui, il n’en était qu’a son premier et n’y avait quasiment pas touché.
- Un autre ! Et bien remplis cette
fois ! Vous savez, dis-je en regardant Damon, je n’aime pas qu’on me
regarde trop longtemps sans me lâcher.
- Comment pourrais-je détacher mon
regard d’une aussi belle femme.
- N’exagérez pas, vous vous faites des
idées.
- Absolument pas.
Je rougie malgré moi.
- Et vous pouvez en avaler combien comme
cela ? Ça fait déjà huit ne dix minutes. Je dois tirer mon chapeau !
- Peut-être. Un seul ! En dix minutes
en plus ! Vous n’êtes pas bien fort ! Dois-je tirer mon chapeau ?
- Peut-être.
Une fille m’apporta mon verre, plus une bouteille.
- Je n’ai pas demandé ça !
- C’est moi. Merci ma demoiselle, et la
serveuse partie.
- Je ne vous ai pas entendu commander
quoi que ce soit.
- J’ai fait un signe de la main.
- Ha. Pas vu non plus.
Il ne répondit pas à cela. Je commençais à avoir un peu mal à la
tête.
- Qui va vous ramener chez vous ?
- Jessica. Ou Jeremy.
- Ils n’ont pas l’air en état de
conduire.
- Qui vous a dit que j’étais en voiture ?
- Si vous rentreriez à pied, vous
n’auriez pas besoin de quelqu'un pour vous ramener.
- Ha. Pas faut. Un autre ! dis-je
au serveur.
- Neuf !
- Vous allez les compter comme ça
jusqu'à ce que j’arrête ? lui reprochais-je.
- Vous allez finir par avoir mal à la
tête.
- Trop tard, c’est déjà fait.
J’étais complètement soûle. Je balbutiais et avais du mal à
réfléchir.
- Il faudrait vraiment que vous arrêtiez
de boire, me dit-il en me regardant soucieusement.
Je rigolais bêtement avant de relancer :
- Et vous donc !
- Je n’en suis qu’à mon deuxième.
- Ha oui, c’est vrai ! Vous, vous
restez vous-même et vous êtes sobre. Tandis que moi, je suis complètement
bourrée ! et en plus ce que je dis n’a aucun sens !
- Heu… Aurélie ?
- Ho, Jessica ! Ca va ?
- Ba toi t’as l’air encore plus défoncée
que nous.
Damon les regarda et dit :
- Elle en est à son neuvième en un quart
d’heure environ.
- Et alors sa vous dérange ?
- Et vous la laissez boire ?
- Elle ne veut rien savoir.
- Rassure-moi juste : tu ne vas pas
prendre le volant ?
- Ba… j’en n’ai pas la moindre
idée ! Pi t’es bête, je n’ai pas le permis.
- Bon tu viens, nous on rentre, après on
ne va même plus pouvoir prendre un taxi.
- Et qui est-ce qui va ramener la voiture ?
- On la reprendra demain.
- Houaiche, ba non, moi je vais
continuer à me bourrer la gueule jusqu'à ce que je m’écroule.
- Tu vas rentrer comment ?
Je bus cul sec.
- Chambre… d’hôtel.
- Ok. Comme tu voudra. A demain Jum's.
- Hmm, hmm.
Ils partirent vers la sortie et je me
retrouvais seule, vraiment seule, avec la personne avec qui je voulais le moins
être. Pourquoi je n’étais pas rentrée avec eux ?
Toute la nuit il me regarda engloutir
les bouteilles une à une. On aurait cru que ça l’amusait de me voir dans cet
état. La discothèque des vida peu à peu et il fini par ne rester plus que nous
deux. Ou plutôt, plus que nous deux et le barman. D'ailleurs en parlant de ce
dernier, malgré que, je devais avoir plus de vingt grammes par litre d’alcool
dans le sang, j’ai remarqué qu’il ne m’avait pas lâché du regard. Quand il
s’approcha de la table pour nous demander si nous voulions autre chose et que
Damon le remercia, en partant je lui balançais :
- Vous avez un blême vous ?
Damon me regarda surpris avec des yeux
ronds mais ne plaça pas un mot dans la conversation qui suivi et se contenta de
passer de l’un à l’autre en m’admirant particulièrement.
- Pardon ?
- Ne faites pas comme si vous ne
compreniez pas !
Je ne lui laissai pas le temps de placer un mot.
- Pour commencer vous vous mêlez de ce
qui ne vous regarde pas : comme avec le numéro par exemple. Personne ne
vous avait demandé de regarder ce qu’il y avait d’écrit sur le papier. Et après
vous ne m’avez pas lâché du regard. Ce n’est parce sue je suis quasi morte
d’alcool que je vois rien !
- Vous m’en voyez désolé, mais je ne
vois pas de quoi vous parlez.
Je me levais de ma chaise et allai me
foutre devant lui. Malgré qu’il faisait une tête de plus que moi, cela ne me
fis pas peur.
- Ne vous foutez pas de moi !
- Je ne fais rien de tel.
- J’aime déjà pas qu’on m’énerve quand je suis pas bourrée, mais encore moins quand je
le suis !
- Vous devriez vous reposer.
- Ne me dites pas c’que j’dois faire ou
pas.
- Ecoutez, je ne vous ai pas fixé du
tout.
Je le regardais droit dans les yeux et
je lui mis une bonne droite en pleine figure.
- Je vous l’ai déjà dis : je n’aime
pas qu’on se foute de moi ! Ça vous a rafraîchi la mémoire ? Vous
neurones sont r'mis en place ?
Il leva sa main. Et j’entendis Damon se racler la gorge.
- Ha non, non. On ne frappe pas les
filles ! Encore moins les mineurs, espèce de looser ! Et oui, ça
parait si étonnant que ça mais j’ai que seize ans !
- Allez-vous faire foutre !
Cette fois ce fut mon pied qui partit là
où il n’aurait jamais pensé atterrir un jour. Le garçon poussa un gémissement
et atterrit à genoux recourbé sur lui-même à mes pieds.
- Vous êtes folle !
- Peut-être. Maintenant j’espère que
vous avez compris qu’on ne m’épie pas.
J’allais retournée m’asseoir quand je l’entendis :
- Petite pute.
S'il croyait avoir été discret c'était râpé. Je pris la première chose qui me vint
sous la main et lui éclatais sur le crâne. Sa faisait une bouteille de moins
sur le bar. Il s’étendit sur le sol, bien amoché et moi je retournais vers ma
chaise et m’avachie dessus.
- J’suis
vraiment navrée mais trop gonflé.
- Rappelez-moi de ne jamais vous
contrarier.
- Houaiche. Jamais.
- C’est noté.
Je descendis encore une bouteille puis Damon me stoppa vraiment.
- Vous êtes mineur, je crois que je vais
vous ramener. Il est presque cinq heure tente du matin.
- Hmm.
Je dormais à moitié je sentis des bras me soulever et trente
secondes plus tard une fraîcheur m’envahir et du cuire m’entourer. Je compris
que j’étais dans une voiture, mais pas dans une qui m’était familière ce qu’il
y a de sur. Ceci fut la dernière chose dont je me rappelai.
- Allo ?
- Aurélie ?
- Qui êtes-vous ?
- Damon Salvatore.
Je fis un bon hors de mon lit – d’ailleurs je remarquais qui n’était pas le mien – comme si une menace était dans ma chambre – je remarquais aussi que ce n’était pas ma cambre.
- Quoi ?! Comment avez-vous eu mon numéro ? hurlais-je dans le téléphone.
- Quand on cherche on trouve.
- Ça veut dire quoi ça ?
- Pourrait-on se retrouver en bas, dans vingt minutes, au bar ?
Je regardais par la fenêtre mais ne le vis pas.
- Vous êtes là ?
- Heu… oui, oui. Mais où est-ce que je suis ?
- Dans un hôtel quatre étoiles.
« Hé ba bien ! Je vais payer comment maintenant ? » pensais-je.
Je fis le tour de la chambre, vis une magnifique salle de bain spacieuse avec une belle baignoire à un mètre du mur en face de la porte à cinquante centimètres vers la droite. En face, un gigantesque tapis noir d’une forme bizarre. Un lavabo fait de marbre. Il était grand avec deux placards en dessous, où il y avait des serviettes, grandes et plus petites, des gants de toilette et des éponges de bain. Plusieurs couleurs étaient disponibles : blancs, noir, rouge, or et beige. Je refermais les petits placards. Il y avait un miroir au dessus du lavabo. De l’autre côté, à droite, il y avait une porte, je l’ouvris et fus stupéfaite de voir un immense dressing – vide bien sur. La salle de bain était blanche du sol au plafond la douche était carrelée avec du beige comme la peau, son pommeau était de forme arrondie et réglable pour la puissance de l’eau . Il y avait des jets arrondie et réglable pour la puissance de l’eau . Il y avait des jets pouvait y glisser quatre personnes. Elle était en fonte, c’était ne baignoire que j’appelait « à l’ancienne ». Je dis cela comme ça car je ne sais pas comment étaient les baignoire avant. Et elle, elle n’était pas collée au mur, son robinet était en cuivre sur le côté du mur et il pivotait pour ne pas gêner quand on se lavait. Les quatre pieds étaient recouverts d’une feuille d’or. Ils avaient une forme spirale. Pieds coquille de Devon&Devon. Sur celle-ci, je venais de remarquer que des inscriptions en or gravées et en grosses lettres étaient écrites : somptueux. Elles étaient vraiment magnifique.
- Alors ?
2.
Je fus réveillée par la sonnerie de mon téléphone vers quinze heures moins le quart. Je répondis tellement vite, avec le coup du réveille, que je vis trop tard que c’était un numéro masqué. Auxquels je ne répondais jamais.- Allo ?
- Aurélie ?
- Qui êtes-vous ?
- Damon Salvatore.
Je fis un bon hors de mon lit – d’ailleurs je remarquais qui n’était pas le mien – comme si une menace était dans ma chambre – je remarquais aussi que ce n’était pas ma cambre.
- Quoi ?! Comment avez-vous eu mon numéro ? hurlais-je dans le téléphone.
- Quand on cherche on trouve.
- Ça veut dire quoi ça ?
- Pourrait-on se retrouver en bas, dans vingt minutes, au bar ?
Je regardais par la fenêtre mais ne le vis pas.
- Vous êtes là ?
- Heu… oui, oui. Mais où est-ce que je suis ?
- Dans un hôtel quatre étoiles.
« Hé ba bien ! Je vais payer comment maintenant ? » pensais-je.
Je fis le tour de la chambre, vis une magnifique salle de bain spacieuse avec une belle baignoire à un mètre du mur en face de la porte à cinquante centimètres vers la droite. En face, un gigantesque tapis noir d’une forme bizarre. Un lavabo fait de marbre. Il était grand avec deux placards en dessous, où il y avait des serviettes, grandes et plus petites, des gants de toilette et des éponges de bain. Plusieurs couleurs étaient disponibles : blancs, noir, rouge, or et beige. Je refermais les petits placards. Il y avait un miroir au dessus du lavabo. De l’autre côté, à droite, il y avait une porte, je l’ouvris et fus stupéfaite de voir un immense dressing – vide bien sur. La salle de bain était blanche du sol au plafond la douche était carrelée avec du beige comme la peau, son pommeau était de forme arrondie et réglable pour la puissance de l’eau
- Alors ?
- Hein ?! Heu… pardon, je ne vous écoutais plus.
- Vous allez bien ? me demanda-t-il d’un ton inquiet.
- Oui, oui. Je … je suis un peu dans les vapes c’est tout.
- Vous êtes sur ?
- Hmm…
- Donc j’étais en train de vous dire qu’hier soir…
- Plutôt ce matin.
- Oui en effet. Je vous ai emmené dans cet hôtel, car je ne savais pas où vous habitez et que je n’allais pas me permettre de fouiller dans votre sac pour le savoir.
- Je vous fais confiance et j’espère que je le peux.
- Je vous assure que vous le pouvez.
- Hmm…
- Pourrais-je finir de vous dire cela en bas ?
- Heu… ouais, si vous voulez.
- Dans vingt minutes ? Cela vous convient-il ?
- Une demi-heure c’est mieux.
- Pas de soucis. On se retrouve au bar en face.
- Ok.
Je raccrochais, balançais mon portable sur le lit – un très beau lit d’ailleurs, avec des draps en soie et une belle couette blanche, un deux place bien grand – et me jetais sous la douche. Je pris une grande serviette noir et une rouge plus petite pour mes cheveux, et les posais sur un des quatre portes serviettes. Je me déshabillais et allais sous l’eau. Je ne la mettais jamais bien chaude, car je n’aimais pas, je préférais le froid, mais là, je mis le robinet carrément sur le froid sans une goutte d’eau chaude pour me réveiller. Quand la fraicheur me toucha la peau, mon cœur fit un bon car ça faisait longtemps que je n’avais pas pris de douche très, très froide. Surtout que dans cet hôtel, on pouvait dire que l’eau était congelée. Douze minutes plus tard je ressortis, mis les serviettes et pris mon sac à main. Je remarquais avec soulagement que j’avais pris tout ce dont j’avais besoin maintenant dans mon sac : brosse à dent, crème pour le corps et le visage, mon maquillage, ma brosse (le truc le plus indispensable), des sous-vêtements et des fringues.
J’en profitais d’être dans la chambre pour l’admirer : elle était très spacieuse avec son grand lit collé au mur du fond sous les fenêtres, au centre. A droite dans l’angle du fond une porte, que je ne pus ouvrir car elle était fermée à clé, et je me dis qu’il devait y avoir des produits d’entretient ou autre. La salle de bain était à droite et prenait toute la longueur, c’est pour cela qu’elle était aussi grande. De l’autre côté à gauche dans l’angle, il y avait une coiffeuse. Il y avait deux armoires en chêne massif sur l’autre mur d’en face. A par cela, il n’y avait rien.
Je retournais ensuite dans la salle de bain, posais mon sac à côté du lavabo, le vidais et étalais tout autour.
Je défis ensuite la serviette que j’avais sur la tête et la posais. J’eue un temps de pose en cherchant du regard. Je rouvris les placards et vus avec soulagement qu’il y avait un sèche cheveux. Je le sortis donc, le branchais et me séchais. Quand ils furent enfin sec, je me fis un chignon à l’arrache avec un élastique mais pas si mal fait.
Je m’étais mise un slim noir, un t-shirt rouge léger et des talons aiguille doré. Je me mis du fard à paupière blanc, du crayon noir du mascara noir et pour finir une touche de gloss. Quand j’eu tout fini je regardais l’heure : il me restait deux minutes. Je rassemblais donc mes affaires fourrais mon portable dans ma poche arrière refis le lit en pliant les draps au bout et descendis à l’accueil.
J’en profitais d’être dans la chambre pour l’admirer : elle était très spacieuse avec son grand lit collé au mur du fond sous les fenêtres, au centre. A droite dans l’angle du fond une porte, que je ne pus ouvrir car elle était fermée à clé, et je me dis qu’il devait y avoir des produits d’entretient ou autre. La salle de bain était à droite et prenait toute la longueur, c’est pour cela qu’elle était aussi grande. De l’autre côté à gauche dans l’angle, il y avait une coiffeuse. Il y avait deux armoires en chêne massif sur l’autre mur d’en face. A par cela, il n’y avait rien.
Je retournais ensuite dans la salle de bain, posais mon sac à côté du lavabo, le vidais et étalais tout autour.
Je défis ensuite la serviette que j’avais sur la tête et la posais. J’eue un temps de pose en cherchant du regard. Je rouvris les placards et vus avec soulagement qu’il y avait un sèche cheveux. Je le sortis donc, le branchais et me séchais. Quand ils furent enfin sec, je me fis un chignon à l’arrache avec un élastique mais pas si mal fait.
Je m’étais mise un slim noir, un t-shirt rouge léger et des talons aiguille doré. Je me mis du fard à paupière blanc, du crayon noir du mascara noir et pour finir une touche de gloss. Quand j’eu tout fini je regardais l’heure : il me restait deux minutes. Je rassemblais donc mes affaires fourrais mon portable dans ma poche arrière refis le lit en pliant les draps au bout et descendis à l’accueil.
- Bonjour mademoiselle !
- Bonjour.
- Avez-vous passez une bonne nuit ?
- Heu… oui, merci, dis-je avec un peut de réticence et en même temps un peu pressée.
- Combien je vous dois ? repris-je en sortant mon carnet de chèque.
- Rien, ne vous embêtez pas, votre séjour est déjà payé.
- Ha bon ? dis-je avec stupéfaction. Puis-je vous demander de la part de qui est-ce ?
- Bien sur. De Mr Salvatore.
- D’accord ! Heu… très bien, je vous remercie !
- De rien, je vous en pris.
- Au revoir.
- Au revoir et passez une bonne journée.
- Merci, vous aussi.
Je prenais mes lunettes de soleil en sortant et m’arrêtais devant l’entrée, cherchant Damon du regard de l’autre côté au bar. C’était une magnifique journée ensoleillé sans aucun nuage et il faisait très chaud. « Heureusement que j’ai pensée à prendre mon deo » pensais-je en souriant. Damon ne fut pas long à trouver. Je traversais et allais le rejoindre, il avait des lunettes de soleil Ray-Ban et était vêtu de noir des pieds à la tête. Il avait sa veste en cuire posé sur le dossier de la chaise.
Je prenais mes lunettes de soleil en sortant et m’arrêtais devant l’entrée, cherchant Damon du regard de l’autre côté au bar. C’était une magnifique journée ensoleillé sans aucun nuage et il faisait très chaud. « Heureusement que j’ai pensée à prendre mon deo » pensais-je en souriant. Damon ne fut pas long à trouver. Je traversais et allais le rejoindre, il avait des lunettes de soleil Ray-Ban et était vêtu de noir des pieds à la tête. Il avait sa veste en cuire posé sur le dossier de la chaise.
J’arrivais
devant lui, m’asseyais pendant qu’il me regardait, puis je posais mon sac et le
regardais à mon tour.
- Bonjour, charmante demoiselle !
me salut-il avec enthousiasme.
- Bonjour.
- Vous êtes très élégante.
- Merci… dis-je sans finir ma phrase.
J’allais lui dire que lui aussi, mais puisqu’il était habillé de la même
manière qu’hier, je me retiens, pensant que cela n’avait aucun intérêt. Vous
n’avez jamais chaud ? repris-je.
Il
me regarda interloqué.
- Excusez-moi, dis-je en souriant
gentiment, mais vous êtes toujours vêtus de noir ?
- La quasi plupart du temps, oui. C’est
ma couleur préféré. Et je n’ai jamais trop chaud ou trop froid, toujours à
température ambiante.
- Ba moi, j’ai toujours trop chaud et
quand il fait froid, j’ai souvent trop chaud, mais après, ça dépend. Quand
j’étais plus petite, je pouvais me mettre en débardeur à moins quinze dehors et
je n’avais pas froid. Mais maintenant, moins.
- Vraiment ?
- Oui.
Un
petit vent frais arrive, et mes mèches non attachée volèrent vers Damon. Je les
ramenais derrière mes oreilles et crue voir, pendant deux secondes quelque
chose d’étrange sous ses yeux, mais qui disparu aussitôt le vent passé.
- Pourquoi avoir payé ?
- L’hôtel ? Je n’allais pas vous
laisser payer alors que vous ne saviez même pas où vous étiez. Puis, je
n’allais pas laisser payer une si ravissante jeune femme.
- Le mot est un peu exagéré.
- Absolument pas.
Pour
toute réponse, je lui souris.
- Vous avez de la chance que je vous ai
répondue au téléphone.
- Pourquoi ?
- Je ne réponds jamais aux appels
masqués.
- Pourquoi l’avez-vous fait alors ?
- C’était un accident. Pour tout vous
dire, je dormais encore et c’est sous le coup de réflexe.
- J’ai eu de la chance, on dirait.
- Beaucoup de chance.
- Et navré de vous avoir réveillé dans
un si bon sommeil.
- Ce n’est rien, de toute façon, Jessica
l’aurait surement fait ?
Mon téléphone sonna.
- Quand on parle du loup ?
Je relevais la tête vers Damon.
- Ça ne vous dérange pas ? J’en ai
pour cinq secondes.
- Non, bien sur, allez-y.
J’allais un peu plus loin.
- Oui ?
- Ba c’est comme ça qu’on répond à sa
Jumelle ?
- Désolée, mais je suis… occupée.
- Hoooo… navré de vous déranger Ma Dame.
- Pff… Aller, arrête tes conneries.
Tu veux quoi ?
- Bon, d’accore, c’est juste pour te
dire que Jeremy à déniché tout ce qu’il te faut.
- Mais depuis quand vous êtes debout
vous ?
- Heu… environ dix heure et demi du
mat’, pourquoi ?
- Comme ça, je trouve que ça fait tôt.
- Et toi ?
- Il n’y a pas plus de quarante minutes.
- Hein ?! mais à quelle tu t’es
couchée ?
- Cinq heure trente par là.
- Mais t’es rentrée comment ? T’es
où là ?
- Je suis dans un bar en face d’un hôtel
quatre étoiles.
- La première question s’il te plait. Et
qui t’as ramené là ? Comment as-tu fais pour payer ? …
- Ce soir, dix-neuf heures chez moi, je
te dirais tout.
- Mais…
- A plus !
Je lui raccrochais au nez sans même lui laisser le temps de répondre. Car si je l’avais laissé, elle ne m’aurait pas lâchée.
Je connais très bien Jessica, elle et moi on se ressemble sur beaucoup de point. Comme pour là : quand elle veut savoir quelque chose, elle va jusqu'au bout jusqu'à ce qu’elle le sache. Comme moi. Donc c’est pour cela que je ne l’ai pas laisser finir.
Je lui raccrochais au nez sans même lui laisser le temps de répondre. Car si je l’avais laissé, elle ne m’aurait pas lâchée.
Je connais très bien Jessica, elle et moi on se ressemble sur beaucoup de point. Comme pour là : quand elle veut savoir quelque chose, elle va jusqu'au bout jusqu'à ce qu’elle le sache. Comme moi. Donc c’est pour cela que je ne l’ai pas laisser finir.
très, très, très bon livre. On se fait bien le film dans la tête. J'espert que après tu va être plongé dans une folle aventutre de science fiction (genre sauver le monde) à voir, dans chaque oeuvre que ce soit livre ou musique il faut un "décolement" être prise dans une aventure folle où le personnage passe de personne anonyme au sauveur de l'humanité, au sinon c'est chiant. A suivre :3...
RépondreSupprimerou le personnage peut aussi être un être une personne normal et ensuite sa vie bascule genre pour toi tu devient un vampire _ _
RépondreSupprimerW
_ _
RépondreSupprimerW
ué merci, tu verra la suite je pense ke sa plaire mé je c pa si je vé devenir vampire par contre mé bn tkt pa i ora de ske tu dmande :p
RépondreSupprimerok je compte sur toi
RépondreSupprimercoucou aurélie ^^
RépondreSupprimercc sava ?? mé bn tu c c pa un tc pr papoter ! c pr foute d comentaire sr mn livre :p bref peu importe
RépondreSupprimermoui il est beau ton livre moui moui
RépondreSupprimerlol merci
RépondreSupprimer